Légende urbaine du garçon qui pleure
Les tableaux sont connus, on les voit accrochés ici et là, et il y a des collectionneurs qui n'aiment rien tant que fouiner pour trouver de nouvelles variations du garçon minable qui pleure et de la fille pathétique aux longs cheveux, aux grands yeux et aux grosses larmes. Autour des tableaux, des répliques et des tirages d'après qui en ont été faits, un mythe a émergé, une légende urbaine, une légende urbaine ou une histoire de singe-sandwich. Derrière les grands yeux tristes se cacherait un grand secret, tout comme derrière le créateur de l'original. On sait peu de choses sur lui, ce qui donne corps à la légende.
Larme juste au-dessus de la paupière
Il existe plusieurs variantes de l'enfant qui pleure. Si vous effectuez une recherche rapide sur l'internet, vous tomberez rapidement sur 20 variantes différentes, des petits enfants, des enfants un peu plus âgés, des garçons, des filles, des bruns, des blonds. Un élément est standard dans ce type de peinture, à savoir les larmes qui tombent sur la paupière ou qui roulent sur les joues. On trouve encore des reproductions ici et là dans les marchés aux puces et les magasins d'occasion, mais on ne sait pas où se trouvent les œuvres originales. La plupart des portraits portent la signature de G. Bragolin dans le coin supérieur droit.
Bragolin
Ce Bragolin est un maître mystérieux. Les recherches sur le peintre mènent entre autres à Venise. Un certain Bruno Amadio (1911-1981) a travaillé sous le pseudonyme de Giovanni Bragolin. Il peignait des enfants du pays parce qu'ils étaient très demandés.
Mon mari ( Arie Lok ) et moi sommes tous deux des photographes fanatiques, nous sortons donc régulièrement ensemble pour photographier de magnifiques paysages, des animaux, des oiseaux et en fait tout ce qui est beau.
Lui avec son Nikon et moi avec mon Canon.
On nous demandait régulièrement..
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