D'après un poème de Jason Lingaya :
Au milieu de la douzième heure
Quand je ferme les yeux
C'est toujours vous que je vois
Très calme pour moi
Submergé par votre beauté intrigante
Alarmé par votre lueur magnétique
Couper constamment mes vieilles blessures
Comme mes humeurs sombres suivent
Les cris me font…
