J'enveloppe une femme parfaitement stylisée dans une lumière cinématographique : sa peau de porcelaine, sa coiffure rétro et ses lèvres d'un rouge profond évoquent le glamour, mais dans son regard se cache une tristesse inexprimée. J'oppose à ce sentiment sous-cutané - mon ode à Erwin Olaf - un arrière-plan infini de plateaux cylindriques qui fait directement référence aux études spatiales rationnelles d'Escher. Les feuilles d'automne enflammées forment le pont visuel : la beauté en décomposition qui conduit votre regard du portrait intime à l'horizon lointain.
Le panorama 16/9 est un choix délibéré ; le cadrage plus large ressemble à celui d'un film et renforce le changement de focalisation entre l'émotion proche et la géométrie lointaine. Les ombres cyan profondes et les tons moyens chauds donnent à l'image cette tonalité caractéristique à la Olaf, tandis que les formes répétitives soulèvent des questions : regarde-t-elle à travers une fenêtre, ou deux mondes se heurtent-ils ici de plein fouet ?
Les outils d'IA m'ont servi de carnet de croquis numérique : grâce à des dizaines d'itérations, j'ai pu approfondir les concepts jusqu'à obtenir exactement cet arc de tension où la beauté et la douleur se confondent. J'ai ensuite affiné manuellement les couleurs, les textures et la lumière pour faire résonner chaque détail.
Vous souhaitez lire une analyse approfondie scène par scène ? Sur mon blog, vous trouverez un article détaillé dans lequel j'explique chaque choix - de la composition à la tonalité - plus en détail.
Créé par Arjen Roos avec le soutien de l'IA
Mon travail se situe à l'intersection de l'Art Pop moderne et de l'Expressionnisme, avec des influences du Modernisme. Le contraste, qu'il soit dans la lumière, la couleur ou le sujet, joue un rôle central dans mon art. La couleur rouge est souvent mise en avant.
Chaque pièce..
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