La Joconde devant une fenêtre à Paris - Collage numérique La Joconde, un tableau ancien de Léonard de Vinci. Qui n'est pas familier avec cette œuvre ? Et la Tour Eifel à Paris, une autre icône. Dans le temps, bien sûr, cette image est méga irréaliste. Un portrait du début du 16e siècle, combiné à un bâtiment en fer forgé du 19e siècle, construit en l'honneur de l'Exposition universelle, et qui était une horreur pour de nombreux Parisiens à l'époque. Depuis lors, la tour Eiffel est devenue l'icône de la capitale française et fait partie intégrante de l'horizon parisien. Et bien que cette combinaison soit irréaliste, la Joconde a sa place à Paris à notre goût, après tout, elle est accrochée dans le prestigieux Louvre et attire 20 000 touristes par jour. Et la Tour Eiffel, construite sur le Champ de Mars, est, bien sûr, la structure architecturale de Paris, aux côtés de l'Arc de Triomphe, de Notre Dame, de la Basilique du Sacré-Cœur et du Palais Garnier / Opéra Garnier. C'est surtout le regard mystérieux de La Joconde qui attire les gens. Elle semble vous suivre partout. Et ce sourire, si discret et pourtant si présent. Elle n'est pas exubérante de bonheur, mais contenue et heureuse. En outre, pour beaucoup, la technique du sfumato utilisée par Léonard de Vinci est un élément merveilleux de la Joconde. Parce que vous pouvez peindre avec de la peinture à l'huile humide dans l'humide, vous pouvez rendre les transitions claires et sombres si subtiles qu'il est à peine visible où quelque chose commence et se termine. La Joconde est probablement le portrait de Lisa Gherardini ou en entier Lisa di Antonmaria Gherardini di Montagliari. Elle était la troisième épouse de Francesco del Giocondo, qui a probablement commandé le tableau à Léonard de Vinci.
MadameRuiz crée des portraits à l'encre de personnes et d'animaux.
"Les gens qui ne me connaissent pas bien me demandent parfois l'origine de mon nom. Eh bien, c'est comme ça... En 1985, je suis née sous le nom de Miriam Groenen. Pendant trente ans, j'ai porté ce nom...
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