Avec le ciel en toile de fond, cette caserne délabrée rappelle les temps passés. Les fenêtres condamnées semblent murmurer des histoires que plus personne n'entend. Chaque fissure dans le mur, chaque couche de peinture écaillée respire les traces des personnes qui ont vécu, rêvé et disparu ici. Le silence n'est pas vide, mais lourd, rempli de l'écho des pas qui résonnaient autrefois sur les planchers en bois. Ce qui reste, c'est un moment d'immobilité : le bâtiment comme vestige de la présence humaine, lentement rendu au temps. Il y a une étrange beauté dans cette fugacité. Une invitation à s'attarder sur tout ce qui passe mais ne disparaît jamais tout à fait.
Je suis Joni-Dorian, un jeune photographe passionné par les images qui transmettent la tranquillité, l’atmosphère et le caractère. Mon travail est souvent intuitif : je me laisse guider par le moment, la lumière et l’environnement. Qu’il s’agisse de nature, de portrait ou de photographie de rue,.. En savoir plus…