Dans l'œuvre et le monde miniature 'MORNING CAME : CLOSING UP IN OLD TEARS' ; je laisse les mondes converger et s'écouler dans un collage en couches. D'une part, à travers les formes d'art utilisées telles que l'aquarelle, la photographie et la technologie numérique ; d'autre part, il y a les mondes, les cieux, les cieux et les mers traversés et passés sous toutes les formes possibles, qu'elles soient émotionnelles, spirituelles ou physiques. Mais encore et toujours, le grand se rassemble et déborde sur le précieux parce que fragile petit comme juste cette couleur, cette incidence de lumière, de profondeur ou de forme dans laquelle les cercles peuvent à nouveau devenir circulaires. Ici aussi, des mondes silencieux et inaudibles se cachent derrière le visible, apparemment banal, d'un horizon et d'un ciel familiers. C'est là que le soleil, la mer, la terre, le sol et le ciel se rencontrent.
Et ceux qui regardent et écoutent attentivement entendent et voient les profondeurs feutrées dans l'écho léger du silence vert et bruissant et toutes les couleurs possibles qui s'y promènent. L'œuvre est aussi un gros plan de MORNING CAME' ; et la mélancolie d'une nostalgie paradoxale d'autres temps où l'expérience de ces couleurs et de ce silence, de cette liberté n'allait pas de soi et où l'on devait se battre pour arriver à la fin de la journée et lentement, pas à pas, lutter à travers la vallée.
Rétrospectivement, en regardant le(s) monde(s) et en réfléchissant à une époque différente, à travers une fenêtre différente, tout cela en valait largement la peine. L'œuvre a certainement une affinité avec le Psaume 23.
Pour les connaisseurs : plus on s'enfonce dans l'obscurité et la désolation de la vallée, plus on se rapproche du sommet.
C'était l'époque où l'eau de fonte de la neige noire prenait peu à peu des couleurs. La maison qui donne sur un nouvel horizon repose à nouveau sur des fondations indestructibles. La question est de savoir ce que je veux sur le mur. Les images que je vois défilent.. En savoir plus…